Onye nkuzi ụlọ akwụkwọ kpọrọ ya

Mgbakọ première par la maîtresse

Le petit mot dans le cahier de correspondance est pour la maîtresse un moyen discret et secretiel de vous contacter. Certes, il est plus intimidant de se fixer rendez-vous par écrit que de mener une simple conversation à bâtons rompus sur le perron de l'école, mais cela vous permettra de discuter en tête à tête à l'abri des oreilles indiscrètes.

La maîtresse vous demandera aussi sans doute de venir avec votre conjoint(e). Pas facile de trouver un moment propice pour se libérer tous les deux en vue de ce rendez-vous ! Mais l'enjeu en vaut la chandelle : il s'agit de comprendre à trois ce qui pourrait changer dans la façon d'éduquer votre enfant, et souvent les points de vue des nne na nna na-eme ihe na s'éclairent.

Les ajụjụ que la maîtresse vous posera

L'entretien débute en général par des question de la maîtresse sur ce que l'enfant vous raconte de l'école. Ụfọdụ petits sont très loquaces sur leurs journées en classe, d'autres les taisent comme si c'était leur jardin nzuzo. Mais même si vous ne savez pas grand-chose, quels prénoms de copains reviennent dans ses récits ? Est-il heureux de venir na klas? Cela permet à la maîtresse de comportement le comportement de votre enfant en famille et à l'école.

Pour un tout-petit : l'entretien portera sur son comportement

La maîtresse vous exposera ensuite les points forts et les point faibles de votre enfant : ce qu'il réussit bien, et là où il faut réfléchir ensemble à des solution. En petite et moyenne ngalaba, il n'est bien sûr pas question de parler de résultats scolaires ! Le souci de la maîtresse sera alors de comprendre le comportement de votre enfant : une nervosité excessive s'expliquerait-elle par des couchers tardifs à la maison ? Du Coca-Cola ma ọ bụ gouter? Elle vous posera donc sans doute des question sur votre mode de vie, sur les frères et sœurs de votre enfant, ou sur ce qu'il aime faire en dehors de l'école.

Wunye ngalaba enfant en grande: na parle aussi des résultats scolaires

Nke a bụ akụkụ dị ukwuu nke ngalaba, des soucis scolaires peuvent se rajouter. Le rendez-vous est alors l'occasion d'aborder l'avenir, ụgbọ ala na CP est en ligne de mire. Si le retard pris par votre enfant le pénalise en classe, la maîtresse vous proposera un suivi personnalisé, pris sur le temps scolaire, de façon à ce qu'une autre maîtresse fasse travailler votre enfant en petit groupe sur ses point faibles, une hehe semaine, pendant na trimestre gburugburu. N'ihi na ọ dị mkpa ka ị na-agụ akwụkwọ, elle vous proposera sans doute un bilan avec un psychologue, scolaire ou non.

Un rendez-vous dans l'intérêt de l'enfant

N'ihi ya, a na-atụ aro ka a wụ ma de vous faire participer au succès de votre enfant. Il sera donc sans doute suivi d'un autre pour faire le point quelques mois après. Il n'est pas non plus à sens unique : vous aussi posez vos question, demandez à voir le classeur de votre enfant, et qu'on vous explique le but de tel exercice, ou la façon d'évaluer le travail.

Le nzuzo ọkachamara, garant de la secretialité

N'hésitez pas à vous confier. La maîtresse n'est pas une psy… mais elle peut évoluer dans sa façon de parler à votre petit en sachant certaines choses (ịgba alụkwaghịm…). Ọ bụrụ na ọ dị mkpa, elle est tenue ma ọ bụ ndị ọkachamara nzuzo, et ne peut en être déliée que si elle soupçonne une maltraitance. Donc rien de ce que vous direz ne sortira des murs de la classe, na l'ATSEM ni les collègues ne seront mises au courant.

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