Onyinye akwa: kedu ka o si arụ ọrụ?

L'Agence de la biomédecine estime qu'il faudrait 1 400 donneuses d'ovocytes tous les ans pour répondre aux besoins des di na nwunye en attente. Une demande qui risque en plus d'augmenter avec l'élargissement de l'accès à la PMA et la modification des ọnọdụ d'anonymat des donneurs et donneuses de gamètes. Kedu ka ị ga-esi nweta onyinye d'ovocytes na France? Kedu otu esi eme ya? Enweghị réponses.

Kedu otu esi eme maka d'ovocytes?

Une femme peut accepter de donner quelques-uns de ses ovocytes pour permettre à une autre femme de devenir mère. L'ovocyte est la cellule reproductrice féminine. Chaque femme possède, na temps nkịtị, des milliers d'ovocytes na ses ovaires. Tous les mois, une dizaine se développe pour aboutir à l'ovulation d'un seul ovocyte, pouvant être fécondé par un spermatozoïde. Na France, le don est volontaire et gratuit. Les ọnọdụ d'anonymat Emeziri site na nkuchi na June 29, 2021 site na National Assembly of the bioethics bill. Site na ọnwa nke iri na atọ na-esote mgbasa ozi nke iwu a, ndị na-enye onyinye gamete ga-ekwenyerịrị enweghị njirimara data (ihe mkpali maka onyinye ahụ, njirimara anụ ahụ) ma na-achọpụtakwa a ga-ebunye ya ma ọ bụrụ na a mụrụ nwatakịrị site na onyinye a ma rịọ ya mgbe ọ tolitere. N'aka nke ọzọ, enweghị ike ịmebe njikọ n'etiti nwa nke sitere na onyinye na onye nyere onyinye.

Quelles sont les ọnọdụ pour faire un don d'ovocytes ?

Na France, nke a onyinye egg est régi par la loi de bioéthique du 29 juillet 1994, qui précise que la donneuse doit être majeure, âgée de moins de 37 ans, et en bonne santé. La condition imposée aux donneuses, d'avoir eu au moins un enfant, a été supprimée avec la révision des lois bioéthiques de juillet 2011. Une nouvelle disposition dont l'objectif est de faire grimper le nombre de dons, encore insuffisant.

Kedu otu esi eme ka d'ovocytes?

Les ovocytes sont donnés à des di na nwunye qui ne peuvent pas avoir d'enfant, soit parce que la femme n'a pas naturellement d'ovocytes, soit parce que ses ovocytes présentent des anomalies génétiques transmissibles ma ọ bụ fœtus, ou encore si elle a subi un traitement qui a détruit ses ovocytes, mais aussi depuis l'été des 2021. di na nwunye de femmes et des femmes célibataires. Dị ka ihe atụ, na di na nwunye na-anata doit être en âge de procréer. L'homme et la femme effectuent leur démarche dans un cadre medical et légal strict d'enyemaka médicale à la procréation (AMP).

Où consulter wunye un don d'ovocytes ?

Na France, seuls 31 centers d'assistance médicale à la procréation (AMP) sont autorisés à accueillir les donneuses ou les receveuses, et à effectuer les prélèvements.

Don d'ovocyte: quels sont les examens préalables pour la donneuse?

En plus d'un examen clinique complet, la donneuse doit faire une prize de sang pour écarter toute maladie infectieuse (hépatites B na C, sida, cytomégalovirus, nje HTLV 1 na 2, syphilis), un caryotype (ụdị chromosomes) na une. Pelvic ultrasound qui permettra ma ọ bụ médecin d'évaluer sa réserve ovarienne. Selon les centres, na pourra également lui demander de consulter un généticien et/ou un psychologue.

Ensuite seulement, elle sera inscrite sur une List de donneuses, avec ses caractéristiques physiques et génétiques, ses antécédents médicaux, son groupe sanguin… Autant d'éléments que le médecin devra ensuite mettre en correspondance (na parle « d'appariement ») avec le profil de laceveuse. Ụgbọ ala on ne peut pas donner n'importe quel ovocyte à n'importe quelle receveuse.

Don d'ovocytes : les exams pour la receveuse

La receveuse, et éventuellement son conjoint ou sa conjointe, devront eux aussi faire une prize de sang pour éliminer une possible maladie infectieuse (hépatites B et C, cytomégalovirus, sida, syphilis). La femme bénéficiera en plus d'un nyocha ụlọ ọgwụ zuru oke wụ étudier notamment la qualité de sa uterine lining. Quant à son conjoint, il devra faire un spermogramm wụ évaluer le nombre, la qualité et la mobilité de ses spermatozoïdes.

Kedu otu esi eme ya?

Après avoir donné son accord, elle suit un traitement de mkpali ovarienne maka injections sous-cutanées d'hormones, chaque jour pendant un mois environ. Simultanément, elle doit se soumettre à une onyunyo étroite avec échographie na onyinye nke bụrụ abụ quotidiennes pendant quelques jours. De son côté, la receveuse prend un traitement hormonal sous forme de comprimés, afin de préparer la muqueuse de son utérus à la nidation de l'embrayo.

Kedu otu esi ahọrọ maka d'ovocytes?

Lepass par la fécondation in vitro est obligatoire. Le médecin ponctionne tous les ovocytes kwe omume (en moyenne de 5 à 8) directement sur les ovaires de la donneuse, sous anesthésie. Les ovocytes matures sont aussitôt fécondés in vitro (en éprouvette) avec le sperme du conjoint de la receveuse. Deux ou trois jours plus tard, un ou deux embryons sont replacés dans l'utérus de la receveuse. S'il reste d'autres embrayo, ils sont congelés. La receveuse pourra les réutiliser quand elle le souhaitera dans un délai de cinq ans.

Kedu ihe na-adịghị mma ma ọ bụ don d'ovocytes?

Le traitement est en général bien supporté et la stimulation, en vue du don, ne diminue pas les chances de la donneuse d'être à nouveau enceinte. Les effets indésirables sont exactement les mêmes que ceux de la stimulation ovarienne.

Kedu otu esi achọpụta ọrịa d'ovocytes?

Ụfọdụ avancent le chiffre de 25-30% nke ego efu chez les receveuses, mais les résultats dépendent avant tout de la qualté des ovocytes et donc de l'âge de la donneuse. Plus elle est âgée, plus les chances de grossesse diminuent.

Nkume a-aza