Ime afọ mbụ: ihe egwu na nleba anya maka nne dị ime

Ime afọ mbụ: ihe egwu na nleba anya maka nne dị ime

Parce qu'elles représentent seulement 2% ma ọ bụrụ na ọ dị mkpa, ma ọ bụrụ na ọ na-eme ka ọ bụrụ ihe na-eme ka ọ bụrụ ihe na-eme ka ọ bụrụ ihe na-adịghị mma. C'est pourtant une réalité qui chaque année, concernent des centaines de jeunes filles qui deviennent mère na-eto eto. Le point sur les risques de complication de ces grossesses particulières.

Kedu ka ị ga-esi nweta nnukwu ụgwọ ọrụ?

Il n'y a pas de définition officielle de la «grossesse précoce». Généralement, na ebe le curseur à la majorité, soit 18 ans. Parfois, na 20 afọ.

Les complexes de la grossesse et de l'accouchement sont la deuxième kpatara de décès chez les jeunes files âgées de 15 à 19 ans dans le monde, indique l'OMS (1). Dans le monde, 194 filles meurent chaque jour des suites d'une grossesse précoce (2), mais avec de fortes disparités régionales en fonction du niveau de développement du pays. Ce phénomène est plus accru dans les pays en développement, où 1 fille sur 3 est enenceinte avant ses 18 afọ. Le manque d'information et d'éducation sexuelle, les mariages forcés, les abuse sexuels, na non accès à la contraception, l'interdiction de l'IVG expliquent ces chiffres élevés.

En France, la situation n'est évidemment pas la même du fait de l'accès à la contraception et du contexte socio-culturel. Ainsi selon les chiffres de l'Insee (3), la fécondité des femmes de 15 à 24 ans poursuit sa tendance à la baisse avec un taux de fécondité de 2,7 enfants pour 100 femmes en 2016 (contre 11,5 ans dans la). nkeji 25-29 na 12,9 enfants chez les 30-34 ndị). N'afọ 2015:

  • 0,1% des premiers bébés avaient une mère âgée de 15 ans;
  • 0,2 % une mere âgée de 16 ans;
  • 0,5% une mere âgée de 17 ans;
  • 0,9% de 18 ihe;
  • 1,7% de 19 ihe;
  • 2,5% nke 20 na (4).

Les nsogbu wunye la maman

Les grossesses précoces sont considérées comme des grossesses à risque non pas en raison de na-akpata intrinsèques dues à la jeunesse du corps, mais du contexte socio-économique dans lequel évoluent ces jeunes filles et des conduites à risque plus fréquentes . De plus parce qu'elles eleghara anya leur grossesse (uche ma ọ bụ ndị na-abụghị), la découvrent tardivement ma ọ bụ souhaitent la cacher, na suivi de grossesse est souvent insuffisant ma ọ bụ tardif. Ces Futures mamans na-eto eto ne bénéficient donc pas de tous les conseils et examens de dépistage prévus dans le cadre du suivi de grossesse.

Dans son rapport sur la grossesse et l'accouchement à l'adolescence, le Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (5) indique cependant qu'il n'a pas été observé d'augmentation du taux de complexes à type de pré-éclampsie (2,7%) ou d'hémorragie de la délivrance (5,4%) dans cette tranche d'âge.

Les nsogbu wụsa le bébé

L'absence de soins prénataux, les conduites à risque et le contexte psycho-social de ces futures mamans na-eto eto exposent davantage le bébé à certains risques. Les deux grandes complexes sont un faible poids et la prématurité. Une étude réalisée entre 1996 et 2003 à l'hôpital Jean Verdier (93) ayant suivi la grossesse de 328 adolescentes de 12 a` 18 ans, ainsi montré un taux de prématurité de 8,8 %. « Les deux principales complexes sont directement liées au suivi tardif et au comportement de « gommage » de l'état de grossesse associés à l'absence de toute précaution physique ou diététique, avec une poursuite, voire une conductive deddictive de. », indique le CNGOF (6).

Le risque de RCIU (retard de croissance intra-utérin) est également plus élevé en cas de grossesse précoce, avec une prevalence de 13%, supérieure à celui de la onu ogugu générale (7). Selon une étude américaine (8), les bébés des mamans de moins de 20 ans auraient également un risque global de malformations 11 fois plus élevé que celui observé parmi les femmes à risque le plus bas, entre 25 et 30 ans. Encore une fois, l'exposition du fœtus à des betters toxiques (alcool, drogue, tabac) est en grande partie na ihe kpatara ya.

L'accouchement proprement dit en revanche est réputé sans risque à condition que la grossesse soit reconnue afin qu'un certain travail de parentalité soit élaboré avant l'arrivée de l'enfant, indique le CNGOF (9).

Nkume a-aza